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Pollution chimique
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4 commentaires
Conversation avec Deniz
La pollution chimique des espaces est l'une des pollutions les plus problématiques. Les substances relâchées dans l'environnemment peuvent présenter des graves danger pour la santé des être vivants presents dans le milieu, y compris pour l'être humain qui se trouve au sommet de la chaîne alimentaire. De plus, les effets sur la santé de certaines substances sont mal connus et la médecine n'a souvent pas assez de recul pour établir des liens de causalités entre une exposition à un polluant et une maladie. D'autant plus que la nature de ces polluants peuvent les rendre persistant dans l'environnement et ainsi continuer d'agir pendant longtemps.
En termes d'action politique, la reglémentation concernant l'élimination des déchets chimiques doit être stricte pour les industriels. De plus, la protection des populations et de la santé doit être une priorité absolue pour les pouvoirs publics.
I completly agree with you. The last exemple of the eternal pollutants (PFAS) also shows that political action need to be more proactive in securing public health. But the question is what kind of concrete actions should be taken by the authorities at various levels in order to avoid such issues.
Il existe de nombreuses solutions, mais nous devons les mettre en œuvre ! Il est possible de réduire l'utilisation de produits chimiques nocifs et d'améliorer les pratiques de gestion des déchets. La lutte intégrée contre les ravageurs (IPM) réduit la dépendance à l'égard des pesticides chimiques en utilisant des méthodes de contrôle biologique, des pratiques culturales et des variétés de cultures résistantes. Le renforcement de la réglementation sur les rejets industriels et la promotion du développement et de l'utilisation de la chimie verte peuvent atténuer l'impact des polluants. En outre, les progrès réalisés dans les technologies de traitement des eaux usées peuvent contribuer à éliminer les contaminants avant qu'ils ne pénètrent dans les écosystèmes naturels. En fin de compte, il semble que nous ayons déjà la plupart des solutions à notre problème, mais qu'elles ne soient pas mises en œuvre. Nous devons concentrer la politique gouvernementale sur les domaines pertinents.
Les "anciennes variétés" dans leur grande diversité sont et ont toujours été plus résistantes et n'ont pas besoin de pesticides. Un exemple existe sur les pommes en Allemagne : https://www.obstbaumschnittschule.de/obst-arboretum-bielefeld/
Il n'y aura pas des masses de pommes, mais une bien plus grande diversité.
Il est important de briser le "cercle vicieux" et d'appliquer les solutions (voir aussi l'article ci-dessus avec IPM).
Nous avons des exemples négatifs d'utilisation de pesticides et de semences génétiquement modifiées en Inde avec la culture du coton : lorsqu'il y a eu des sécheresses, ce sont les champs bio et non les monocultures qui ont été les plus résistants.
Les informations très pertinentes des études de www.hbm4eu.eu sont à peine connues de nous en tant que citoyens. Elles devraient faire partie de l'actualité quotidienne et des sujets scolaires.
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